5 bonnes raisons pour ne pas investir en bourse sur le marché américain !

Est-il essentiel de devoir diversifier son portefeuille d’actions à l’international ? Doit-on obligatoirement investir en bourse sur le marché américain ? Ce dernier est-il plus rentable que le marché français ? Où se situe le rendement du marché français comparé à celui américain ?

Voici quelques pistes de réflexions :

Est-ce une nécessité d’investir en bourse à l’international et plus précisément sur le marché américain ?

Cette question, je me la pose depuis le jour où j’ai ouvert un compte-titre et un Pea chez mon courtier en ligne.

En effet, quand on se lance en bourse, on entend rapidement dire qu’il faut absolument investir sur le marché américain, c’est le plus rentable et le plus intéressant.

Avant de suivre la foule et les bonnes paroles, je préfère me renseigner, comprendre et analyser pour prendre les bonnes décisions, celles qui sont adaptées à ma situation. Récemment, je suis enfin tombé sur une étude de l’AMF (Autorité des marchés financiers) concernant ce sujet.

Ce qui y est dit est véritablement très intéressant…

L’idée reçue comme quoi le marché américain a un meilleur rendement que celui français est remise à plat.

Je cite : « Dividendes réinvestis, les placements en actions américaines, allemandes ou britanniques ont procuré des rendements similaires à ceux en actions françaises sur la période allant de 1988 à mi-2013. »

Cette étude est claire, sur les 25 années étudiées, le marché français fait aussi bien que les grandes places mondiales. Le rendement réel, de toutes ces places, se trouve autour de 6,6 % par an (dividendes réinvestis). (Attention : l’inflation est prise en compte, mais pas la fiscalité et encore moins les frais de courtage).

Les performances comparées des actions, dividendes réinvestis et inflation déduite, de 1988 à mi-2013

Vous pouvez remarquer que les variations sont différentes selon les marchés, mais au bout de 25 ans le résultat est le même. Vous remarquerez également que la courbe du Japon est complètement anémique sur cette période, c’est un autre sujet…

Aux questions : Est-ce une nécessité d’investir en bourse à l’international ? Investir en bourse sur le marché américain est-il une obligation ?

La réponse pourrait être simplement non, la preuve avec ce graphique. Pourquoi entendons-nous alors, quand l’on s’intéresse à la bourse et à son évolution que c’est le marché le plus intéressant et le plus rentable ?

4 bonnes raisons de privilégier le marché américain dans ses investissements :

  • Il est régulièrement évoqué que c’est sur le marché américain qu’il y a le plus d’opportunités. J’ai envie de tempérer ce propos, c’est certainement un marché où l’on peut trouver de belles valeurs de croissance, de rendement etc, à la condition de le maîtriser.
  • L’historique de certaines sociétés qui le compose est exceptionnel (Coca-cola, Procter & gamble…). Je parle ici d’un historique avec des périodes supérieures à 30, 40 voire 50 ans.
  • La puissance des marques dans ce pays y est incroyable, tout le monde connait Coca-Cola, Apple, Harley-davidson…, il y en a des dizaines d’autres comme ça. On parle de valeurs avec des barrières fortes à l’entrée (comprenez qu’il est extrêmement difficile de les concurrencer)
Dow-Jones sur un siècle

Les 5 bonnes raisons pour ne pas investir en bourse sur le marché américain

  • Si vous êtes en phase de construction d’un portefeuille, le mieux (car vous investissez sur du long terme) c’est d’avoir un Plan d’Epargne en Action (PEA). Avec ce dernier, vous avez un outil particulièrement avantageux fiscalement, au bout de 5 ans, mais surtout au bout de 8 ans. Je vous invite à lire cet article Les outils pour investir en bourse : le PEA. Vous n’avez pas ici la possibilité d’investir sur le marché US. Le Pea permet déjà d’acquérir des actions sur le marché français et européen, c’est déjà une première diversification en complément de celle sectorielle que vous pouvez faire. Nul besoin d’investir hors d’Europe.
  • En investissant en France puis en Europe, votre argent participe à la croissance économique de cette zone pour une performance sur les 25 dernières années identique, voire meilleure.
  • Si vous n’investissez que sur le marché national, ne croyez-vous pas que les grandes capitalisations de la place boursière parisienne ne sont pas elles-mêmes diversifiées. Nombreuses sont les sociétés qui font leur chiffre d’affaire hors d’Europe, aux Etats-Unis ou dans les pays émergents.
  • En 25 ans, le marché américain et français a progressé sensiblement de la même manière, qui a été le gagnant ? Celui qui n’a investi que sur des sociétés du CAC 40 au sein de son PEA ou celui qui a investi sur le S&P 500 au sein de son compte-titre ? Bien sûr, vous l’avez compris, notamment à cause de la fiscalité, mais aussi des frais plus importants qu’il faut payer pour investir aux US, le PEA et les valeurs françaises affichent un meilleur rendement.
  • N’oublions pas le risque devise, car si le taux du dollar monte, c’est très bénéfique, s’il baisse et que vos actions dévissent, le mal sera encore plus grand. Il faut l’avoir à l’esprit.

Diversifier son portefeuille sur le marché Américain, oui, mais rien ne presse.

En réalité, il y a de nombreuses raisons pour investir sur ce marché. C’est la première place financière au monde. On y trouve un nombre incroyable d’actions dont certaines ont un potentiel énorme. On y trouve des valeurs matures qui continuent d’avoir une croissance et un parcours particulièrement intéressant pour se constituer un portefeuille diversifié et de qualité.

D’un point de vue fiscal, des accords existent entre la France et les Etats-Unis, l’imposition est identique à celle des valeurs françaises (dans un compte-titre).

Vous l’avez compris, investir sur ce marché (en direct), quand l’on n’est pas un investisseur passionné, informé et aguerri, n’est peut-être pas la première chose à faire. Avant de se lancer sur un marché étranger, il est bon de connaître la fiscalité et les frais de son courtier (le mien est dans l’ensemble plutôt bien placé et largement en dessous de la moyenne du marché. C’est absolument à prendre en compte…).

La première étape est bien d’ouvrir un PEA pour construire un portefeuille diversifié de valeurs françaises, puis européennes. Une fois construit, il me paraît intéressant de s’orienter vers le marché américain avec un compte-titre, mais seulement sur des valeurs que vous comprenez parfaitement pour être en mesure de savoir encaisser non seulement une baisse du marché, mais aussi une baisse de la devise.

Pour élargir le sujet, un moyen particulièrement intéressant pour diversifier son capital à l’international au travers de fonds ou d’unités de comptes (UC), c’est l’assurance-vie. Cette dernière offre de réelles opportunités notamment au niveau des tarifs et des frais réduits ou négociés, mais aussi  au travers de l’avantage fiscal qu’elle procure au bout de huit ans.

Déontologie :

A travers mes assurances-vie et de mon Pea, j’investis actuellement un peu partout dans le monde. Ma pondération sera je pense toujours plus forte pour la France et l’Europe (+ de 50 à 60 % de mes investissements).

Ce que je décris dans cet article, ce sont, selon mes lectures et mon expérience, des idées et des analyses que je peux faire pour pouvoir optimiser au mieux mes investissements en les diversifiants mais aussi et surtout pour ne pas voir mon capital amputé par les frais et les impôts.

Pour en savoir plus : 

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27 réflexions au sujet de “5 bonnes raisons pour ne pas investir en bourse sur le marché américain !”

  1. bonjour Arnuad

    Merci pour cet article très instructif et très complet dans son analyse. C’est vrai qu’il est intéressant d’investir sur la zone euro via un PEA. Et je pense qu’il ya encore de belles opportunités sur le marché européen au vu de certaine sconcentrations de secteur comme les télécoms.

    ludovic

    Répondre
  2. Excellent article Arnaud!

    La nécessité d’investir sur le marché américain est selon moi un mirage. Il est vrai que l’économie américaine est l’une des plus dynamique au monde et que plusieurs excellentes entreprises s’y trouvent, par contre comme j’investie dans un groupe très restreint d’ entreprises (5 à 10) l’obligation de piger sur le marché américain n’est pas présente pour moi.

    Au Canada, la pression est forte pour nous amener à sélectionner des titres américain, étant des voisins immédiats mais jusqu’à maintenant (plus de 10 ans) j’ai très bien réussis en me concentrant uniquement sur le marché canadien et je compte bien continuer ainsi pour longtemps encore.

    Je ne dis pas que je n’investirai jamais aux U.S.A. mais pour le moment je n’en vois pas la nécessité. Avec plus de 1 200 sociétés cotées à la bourse de Toronto, mon bassin pour y trouver une vingtaines de compagnies intéressantes est largement suffisant.

    Martin

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    • @ Martin

      Merci pour l’article 😉

      Il y a tellement à faire sur les marchés domestiques, qu’il ne faut pas forcément toujours chercher ailleurs… au moins au début, ensuite, il faut penser à diversifier et là le marché américain peut-être intéressant.

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  3. Pourquoi la courbe du japon serait-elle un autre sujet? Elle est au contraire au coeur meme du sujet!
    À la fin des années 80, les épargnants japonais avaient justement grand intérêt à avoir une partie de leur portefeuille investie à l’international,non?
    Je pense que sortîr des frontières n’est pas nécessaire pour gagner en performance(les marchés etant très fortement corrélés depuis quelques années), mais en sécurité.
    Dans un portefeuille axé « dividendes croissants », les valeurs anglo-saxonnes sont un plus, via des dividendes trimestriels et la forte culture de l’actionnariat présente dans ces pays.
    Meme si le portefeuille d’un particulier doit etre en priorité centré sur sa devise d’origine, avoir une petite partie investie hors zone euro peut permettre de réduire la volatilité et de s’ exposer a des secteurs pas ou peu représentés en france et dans le reste de l’europe.
    Dans le cas plus specifique des US, il faut aussi noter le caractère contra-cyclique du dollar, en opposition à l’euro, qui est une monnaie cyclique.
    A defaut de selection de titres, un simple tracker pourra permettre de réaliser cette exposition a moindre frais, sur compte-titres et meme PEA.
    Pour l’assurance-vie,désolé mais à moins d’être fortement imposé je n’en voit pas l’interet, surtout pour y mettre des opcvm!
    Voilà, voilà, bien sur tu commences à suffisamment connaitre ma phylosophie d’investissement pour ne pas atre surpris par ce que je viens d’ecrire! 😉

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    • @ Yoshi

      En écrivant cet article je pensais également à toi et à ta philosophie d’investissement 😆 . En écrivant le titre, je savais que j’allais retenir ton attention. 😉

      Encore une fois, tu apportes un commentaire constructif et intéressant, notamment sur ta remarque sur le Japon, je n’abordais pas le problème Japonais sous cet angle.

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      • Et oui,même les allocations d’actifs des investisseurs americains contiennent souvent des titres ex-US, alors que leur marché est le plus vaste au monde, et de loin!
        Tout comme la question ne devrait pas être « faut-il des actions dans mon allocation d’actifs » mais plutôt « quel pourcentage d’actions mettre dans mon allocation »,il ne faudrait pas se demander si il faut s’ exposer au marché US, mais plutot quel pourcentage de la poche actions lui reserver.
        Une autre question pourrait etre quelle place accorder aux small caps…peut-etre un autre article

        Répondre
        • @ Yoshi

          Effectivement, quel pourcentage de nos investissements souhaitons nous exposer aux différents marchés et dans quel but ? Cette question, au fil des investissements sera de plus en plus prégnante.

          Les smalls caps, c’est une question intéressante à développer, certes le vecteur peut-être lucratif mais risqué. Ecrire un article sur le sujet est une excellente idée, il va falloir que je me documente, je ne connais encore que très peu ce segment du marché.

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  4. Hello merci pour l’article très synthétique

    Je pense aussi qu’on a tendance à nous vendre le marché Américain comme un eldorado mais il n’en est rien. Le marché est très bien valorisé (plutôt cher historiquement mais pas encore sur-valorisé) ; les bonnes opportunités s’amenuisent…

    Puisque tu parles du risque des devises, l’intérêt c’est justement de posséder à la fois des actions en euro et en dollar. Le risque existe des deux côtés du coup un équilibrage des devises permet d’être insensible à ce risque.

    Florian

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  5. faut il investir. sur le marché US.cela dépend d

    e nos objectifs.voulons nous nous construire un patrimoine au bout de quelques décennies, ou bien,privilégions nous d’avoir des revenus même d’un faible montant chaque mois.ce qui je pense est beaucoup mieux que d’attendre un dividende.et en cela le marché US présente bien plus d’avantage que le marché français,voir européen : plus forte volatilité…

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  6. « En investissant en France puis en Europe, votre argent participe à la croissance économique de cette zone »

    Uniquement si vous investissez lors d’introduction en bourse ou d’une augmentation de capital. Sinon, votre argent va simplement dans la poche du gars qui vous a vendu les titres, et ce gars-là peut très bien être singapourien.

    Répondre
    • @ H

      C’est tout à fait exact, excellente remarque. Seulement, les personnes qui participent à une introduction ou à une augmentation de capital savent que dans l’avenir elles pourront revendre leurs parts à d’autres investisseurs.

      C’est en cela que la bourse participe à la croissance économique et que tous les investisseurs participent directement ou indirectement à l’économie.

      C’est simplement le principe du marché boursier.

      Répondre
  7. Bonjour,

    le rendement n’est pas la meilleure solution sur le marché américain, sauf à investir pour le long terme dans les valeurs de croissance.

    Sur le Nasdaq on trouve de nombreuses valeurs qui connaissent de fortes et longues variations : +100, +200, … +800, +1000, …

    Il suffit de se baisser (et de s’y connaître un peu) pour, avec une technique de suivi de tendance, grappiller de belles plus-values.

    Un screener permet alors de sélectionner les meilleures valeurs à suivre sur du moyen terme, voire court terme.

    Il faut bien sûr avoir des notions d’analyse technique pour séparer le bon grain de l’ivraie.

    Répondre
  8. Salut Arnaud,

    Personnellement mon screener pour détecter des actions avec un fort potentiel de croissance rapide ne me retourne que très peu d’opportunités en Europe. J’ai énormément plus de possibilités sur les marchés américains.

    Je rejoins Michel, et on le voit très bien sur le premier graphique, en faisant du buy & hold sur un indice, un investissement aux État-Unis, Royaume-Uni, France ou Allemagne, n’aurait pas connu une grande différence au niveau performance. C’est la solution simple, mais loin d’être la plus performante…

    Ben

    Répondre
    • Il y en a quand même sur le marché français : Prismaflex, Montupet, Cellectis, Financière de l’Odet, …

      Il y en a moins que sur le Nasdaq où il y en a trop. Cela donne le tournis.

      Je ne suis as d’accord sur le buy and hold. L’investisseur qui achète et se renforce sur un indice comme le Dax sort grandement gagnant.

      Répondre
      • Salut Michel,

        Si on se rapporte au premier graphique au début de l’article, qu’est-ce qui te permet de dire que le Dax sur-performe largement les État-Unis, le Royaume-Uni et la France?

        Sans parler de se renforcer car cet élément à lui seul peut dramatiquement changer la performance, c’est sûr, mais comme sur n’importe quel indice dans ce cas…

        Ben

        Répondre
  9. On peut très bénéficier de la fiscalité du PEA et investir dans des marchés hors UE, comme les US, ou les émergents via les trackers synthétique, voir lyxor, amundi etc.

    La fiscalité est un mauvais argument pour s’interdire les US, même si on peut pas faire du stock picking ça permet une allocation diversifiée géographiquement avec une bonne fiscalité.

    Répondre
      • …à cause d’une experience malheureuse, mais ils peuvent être une excellente alternative si ils sont sélectionnés avec soin, je dirais même qu’ils sont la meilleure alternative pour 90% des investisseurs particuliers…

        Répondre
        • @ Yoshi

          Tu as raison de le rappeler, mon expérience m’a refroidi. Les trackers ne sont pas simple à comprendre, là encore il faut bien lire le « prospectus » et les avertissements pour bien choisir. Je n’ai pas forcément encore pris le temps de me renseigner plus en avant. Je trouve plus simple d’investir en direct ou dans des fonds (pour mon assurance-vie), la sélection prend déjà ici pas mal de temps.

          Répondre
  10. Mon oncle considère sérieusement investir en bourse sur le marché américain. Je devrais partager cet article avec lui.

    Répondre
  11. Bonjour.
    Pour ma part, j’ai ouvert un compte titre, et un PEA.
    Et comme j’ai trouvé un courtier en ligne qui propose des frais défiant toute concurrence sur les marchés US (aussi sur le Canada, et d’ailleurs un peu partout dans le monde!), j’ai donc craqué pour me lancer sur quelques valeurs US.
    Quand on regarde bien, effectivement, c’est un marché où il y beaucoup plus de choix qu’en Europe quantitativement, et aussi en diversité. Après, c’est sûr que si l’on réside au Canada, on a déjà de quoi faire à la maison!
    Les américains détiennent dans leur patrimoine une proportion d’actions bien plus importantes que nous français, et européens en général, il est donc logique que ce marché n’ait pas les mêmes proportions, ni la même liquidité.
    M’intéressant à l’approche Value, et observant le travail du blog Les Daubasses, ils investissent beaucoup aux US, et trouvent des opportunités. Leur résultat parle pour eux.
    Après, je pense que c’est surtout des biais culturels, qui poussent à investir ici, et pas là. Songeant à la fiscalité, je me disais qu’au final, si on gagne beaucoup et qu’on garde un peu, c’est peut-être mieux que gagner peu et se faire laminer par l’inflation, qui est une autre forme de taxation plus sévère et sans visage!
    Bon, je me suis laissé aller à un peu de spéculation, mais je commence avec petit, même pas 500 euros…et j’irai en épargnant peu à peu. Du coup, j’accède à des minières, des pétrolières, qu’on ne peut loger dans un PEA…c’est à mon sens un plus…mais comme je l’ai dit, là c’est plus spéculatif, donc risqué.
    Par contre, certains univers d’investissements, dont parlent Linvestisseurfrançais (Sears, etc…), sont intéressants: les holdings qui transfèrent l’endettement sur des sociétés parallèles, et savent gèrer le capital en jonglant sur plusieurs sociétés. On peut s’étonner de certains trajets, par exemple je viens de découvrir Gladstone, et l’on peut, quand on voit l’historique du dividende, se demander si ça ne vaut pas le coup d’y aller voir quand même. En tous cas, je n’ai pas le sentiment qu’on trouve ce genre de dynamique dans l’univers européen et français.
    Je précise que je ne détiens aucun titre cité ci-dessus, et que chacun est responsable de ses décisions, mes propos ne sont en aucun cas un conseil ou une recommandation pour acquérir les titres cités.
    Cordialement.

    Répondre
    • Si l’on regarde le Dow Jones et le Nasdaq à long terme, il n’y a pas photo.
      Certaines actions sont encore plus époustouflantes. Il suffit de s’organiser pour les trouver.
      Exemple CHD…

      Ce serait dommage de s’en passer.

      Répondre
  12. Bonjour Laurent,
    Effectivement, je trouve que diversifier à l’etranger, en particulier aux U.S, est un « plus » non negligeable!
    Il y a un moyen simple d’investir aux US en limitant le nombre de lignes, et en neutralisant toute taxation durant la phase d’epargne:s’ en tenir aux holdings diversifiées et capitalisantes, Berkshire hathaway en etant l’exemple le plus célèbre, mais d’autres existent, avec des allocateurs de capitaux d’exception aux commandes.
    Pas de dividendes en phase de constitution de patrimoine, donc 0 impots, puis possibilité de vendre quelques actions de temps à autre en phase de « rente », voire de revendre tout ou partie de la ligne (de preference en periode de moins-value…)pour ensuite la remplacer par un panier de titres a dividendes…

    Répondre

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